100 000 canards par un doux soir d'orage de Thomas Carreras
Broché: 312 pages
Éditeur : Sarbacane
Parution : 07 janvier 2015
Collection: Exprim'
Broché: 312 pages
Éditeur : Sarbacane
Parution : 07 janvier 2015
Collection: Exprim'
Ginger, globe-trotteuse américaine de 19 ans, débarque à Merrywaters, en
Angleterre, pour un festival de musique. Elle est loin de se douter que
les canards seront aussi nombreux, ni qu'ils commenceront à
l'espionner, ni qu'ils représenteront, peut-être, un danger mortel...
LA SUITE ?
AH NON, C'EST TOUT,
ON NE VOUS DIS PLUS RIEN !
Sachez seulement qu'aucun canard n'a été blessé
pendant l'écriture de ce livre.
Mon avis: Je
remercie les éditions Sarbacane et tout particulièrement
Juliette pour l'envoi de ce roman et la confiance qu'ils
m'accordent à chaque parution de leurs nouveaux romans. Tout d'abord je tiens à préciser que ce qui m'a attirée dans ce livre ce sont tout simplement la couverture que j'ai trouvé originale et assez fantastique faut l’avouer et le résumé qui n'en ai pas vraiment un je le conçois . J'avais aussi très envie de découvrir l'écriture de Thomas Carreras, malheureusement j'ai un avis comme ça à chaud, un peu mitigé, je n'ai pas spécialement apprécié ma lecture même si j'ai trouvé le roman très original, plein d'humour et, assez, très effrayant je n'ai pas totalement adhéré à cette histoire.
J'ai adoré le style déjanté de l'auteur mais l'univers n'était pas ce que j'affectionne le plus en tout cas c'est un livre à découvrir pour son originalité car franchement c'est une lecture vraiment étonnante et pour cela je tire mon chapeau à l'auteur pour l'état de stupéfaction dans lequel il m'a mise...
Du coté de l'histoire: Ginger est une jeune américaine de 19 ans, elle arrive à Merrywaters, un petit village perdu en Angleterre où se déroule le festival du Nightfest. Arrivée deux semaines avant le début de ce festival, la jeune fille qui a besoin d'un toit va tout faire pour se faire engager dans un pub. Elle se liera d’amitié avec Eilenne et Malcolm, les enfants du patron surnommé quant à lui " le Colonel ". Plus le temps passe et plus la jeune américaine trouve que des choses étranges se passent dans ce petit village. Elle a l'impression que les canards l’observent étrangement et elle ressent de plus en plus de doute sur la famille qui l’accueille dans ce village étrange. (Je m’arrête là pour ne pas spoiler l’histoire).
Du coté de l'écriture: J'ai adoré la première partie du roman avec les personnages de Ginger et Eilenne que j'ai vraiment trouvées très attachantes, j'ai accrochée de suite à l'histoire, j'ai ris, j'ai eu peur aussi je l'avoue et je pense que lorsque j'irais dans la basse cour de mon père, j'aurais une réelle appréhension en croisant les canards qui s'y trouvent... Puis ensuite vient la seconde partie où là je n'ai pas vraiment été subjuguée, pourquoi ? je ne sais pas vraiment, j'ai bien aimé mais cette seconde partie m'a un peu dérangée, je pense par le grand nombre de personnages ( connus ou pas d'ailleurs,je vous laisse découvrir les personnages cités dans ce livre :) ) qui s'y trouvent dedans et par les passages assez gores qui ne sont pas vraiment du style que j’apprécie le plus mais cela n'entrave pas la qualité du roman car l'écriture est fluide, il se lit très vite et il y a pas mal de passages hilarants. L'auteur a une imagination des plus débordante et étonnante, je sais pas où il va puiser cette imagination mais franchement il nous surprend du début à la fin. Sa plume des plus familière est également un point fort de ce roman, j'ai vraiment beaucoup aimé ce style d'écriture mais c'est un peu dommage que l'effet apocalyptique donné dans ce roman m’ait un peu dérangé , bon c'est un peu normal car ce n'est pas spécialement le style que j'affectionne le plus mais je sais que beaucoup d'entre vous apprécieront ce contexte.
En conclusion: Une écriture fluide, un roman qui se lit très vite , un style des plus déjanté, un univers complètement à part voilà ce qui résume 100 000 canards par un doux soir d'orage qui ne laissera pas indifférent ses lecteurs. Moi je n'ai pas totalement apprécié ma lecture mais je ne l'ai pas détesté non plus ( je suis plutôt mitigée cette fois-ci) simplement ce n'est pas vraiment mon style d'univers livresque mais je sais qu'il conviendra à bon nombre d'entre vous et que ceux qui apprécient ce style adoreront vraiment, je le conseille donc aux adeptes de ces univers et aux curieux qui veulent découvrir un tout autre style d'auteur qui détonne. J'ai tout de même passé un bon moment en compagnie de "la folie" de Tomas Carreras et de ses multitudes de canards et en relisant ma chronique écrit à chaud je vois que celle-ci est un peu brouillon je m'en excuse mais elle est comme ce livre légèrement décousue de sens :)
J'ai adoré le style déjanté de l'auteur mais l'univers n'était pas ce que j'affectionne le plus en tout cas c'est un livre à découvrir pour son originalité car franchement c'est une lecture vraiment étonnante et pour cela je tire mon chapeau à l'auteur pour l'état de stupéfaction dans lequel il m'a mise...
Du coté de l'histoire: Ginger est une jeune américaine de 19 ans, elle arrive à Merrywaters, un petit village perdu en Angleterre où se déroule le festival du Nightfest. Arrivée deux semaines avant le début de ce festival, la jeune fille qui a besoin d'un toit va tout faire pour se faire engager dans un pub. Elle se liera d’amitié avec Eilenne et Malcolm, les enfants du patron surnommé quant à lui " le Colonel ". Plus le temps passe et plus la jeune américaine trouve que des choses étranges se passent dans ce petit village. Elle a l'impression que les canards l’observent étrangement et elle ressent de plus en plus de doute sur la famille qui l’accueille dans ce village étrange. (Je m’arrête là pour ne pas spoiler l’histoire).
Du coté de l'écriture: J'ai adoré la première partie du roman avec les personnages de Ginger et Eilenne que j'ai vraiment trouvées très attachantes, j'ai accrochée de suite à l'histoire, j'ai ris, j'ai eu peur aussi je l'avoue et je pense que lorsque j'irais dans la basse cour de mon père, j'aurais une réelle appréhension en croisant les canards qui s'y trouvent... Puis ensuite vient la seconde partie où là je n'ai pas vraiment été subjuguée, pourquoi ? je ne sais pas vraiment, j'ai bien aimé mais cette seconde partie m'a un peu dérangée, je pense par le grand nombre de personnages ( connus ou pas d'ailleurs,je vous laisse découvrir les personnages cités dans ce livre :) ) qui s'y trouvent dedans et par les passages assez gores qui ne sont pas vraiment du style que j’apprécie le plus mais cela n'entrave pas la qualité du roman car l'écriture est fluide, il se lit très vite et il y a pas mal de passages hilarants. L'auteur a une imagination des plus débordante et étonnante, je sais pas où il va puiser cette imagination mais franchement il nous surprend du début à la fin. Sa plume des plus familière est également un point fort de ce roman, j'ai vraiment beaucoup aimé ce style d'écriture mais c'est un peu dommage que l'effet apocalyptique donné dans ce roman m’ait un peu dérangé , bon c'est un peu normal car ce n'est pas spécialement le style que j'affectionne le plus mais je sais que beaucoup d'entre vous apprécieront ce contexte.
En conclusion: Une écriture fluide, un roman qui se lit très vite , un style des plus déjanté, un univers complètement à part voilà ce qui résume 100 000 canards par un doux soir d'orage qui ne laissera pas indifférent ses lecteurs. Moi je n'ai pas totalement apprécié ma lecture mais je ne l'ai pas détesté non plus ( je suis plutôt mitigée cette fois-ci) simplement ce n'est pas vraiment mon style d'univers livresque mais je sais qu'il conviendra à bon nombre d'entre vous et que ceux qui apprécient ce style adoreront vraiment, je le conseille donc aux adeptes de ces univers et aux curieux qui veulent découvrir un tout autre style d'auteur qui détonne. J'ai tout de même passé un bon moment en compagnie de "la folie" de Tomas Carreras et de ses multitudes de canards et en relisant ma chronique écrit à chaud je vois que celle-ci est un peu brouillon je m'en excuse mais elle est comme ce livre légèrement décousue de sens :)
je dirais quand même à Thomas Carreras un grand bravo pour son originalité, sa folie tellement agréable mais si vous pouviez me faire la prochaine fois un livre un peu moins sanguinaire par moment je suis sur que vous feriez carton plein chez moi
Découvrez La bande son accompagnant ce roman ICI
bonjour ce livre me fais beaucoup envie , joli blog
RépondreSupprimer